
Pourquoi le réseau PEPPOL est un levier stratégique pour anticiper la facturation électronique de 2026
Parmi les standards qui facilitent l’interopérabilité et la fluidité des
Une facture électronique est une facture émise, transmise et reçue sous un format 100 % numérique et structuré.
Attention, ce n’est pas un simple PDF envoyé par e-mail. Il s’agit d’un fichier contenant des données normalisées (au format XML, JSON, etc.) que les logiciels peuvent lire automatiquement.
Par exemple, le format hybride Factur-X intègre à la fois un PDF lisible par un humain et un fichier XML avec toutes les informations de facturation.
L’objectif ? Permettre une lecture et un traitement automatisés par les outils comptables et administratifs.
Contrairement à un PDF “image” qui nécessite une ressaisie manuelle, une facture électronique structurée est interopérable entre systèmes informatiques. Elle doit être échangée via des plateformes agréées et être archivée dans des conditions garantissant son authenticité.
En résumé, une facture électronique n’est pas une image figée, mais un ensemble de données exploitables, un peu comme un tableur intelligent plutôt qu’une photo de la facture.
Ce format moderne est au cœur de la transformation numérique des échanges B2B.
La généralisation de la facture électronique répond à une volonté de l’État français (inscrite dans les lois de finances 2020 et 2022) de moderniser et sécuriser les transactions inter-entreprises.
Plusieurs objectifs officiels motivent cette obligation :
Organisez une réunion d’information ou un atelier pratique pour expliquer à vos équipes les bases de la réforme. Présentez le calendrier (2026/2027), les nouvelles obligations (formats, PDP, e-reporting) et les changements de procédures à venir. Fournissez leur un support mémo (par exemple un résumé de notre Livre Blanc ou une FAQ interne) pour qu’ils puissent s’y référer.
L’objectif est que chacun maîtrise le vocabulaire (PDP, PPF, Factur-X, etc.) et comprenne comment cela va impacter son travail au quotidien.
les factures papier ou PDF entraînent des traitements lents et des erreurs de saisie.
Au contraire, la facture électronique est immédiatement lisible par un logiciel, ce qui réduit les erreurs et les litiges, et accélère le processus de facturation.
C’est un gage de fiabilité et d’efficacité.
Fini les impressions, envois postaux et archivages physiques : une e-facture coûte en moyenne 3 à 4 fois moins cher qu’une facture papier traditionnelle.
La dématérialisation complète permet des économies d’échelle sur la gestion des factures (moins de papier, moins de stockage, moins de ressaisies).
Avec la facture électronique, plus besoin de télédéclarer manuellement certaines données.
L’administration recevra automatiquement une grande partie des informations de facturation et de TVA via les plateformes, ce qui simplifie les déclarations et fiabilise les contrôles.
Pour les entreprises, c’est un gain de temps et moins de risques d’erreurs fiscales.
Bien qu’elle représente un changement de paradigme (chaque facture devient une source d’information fiscale en temps réel), c’est aussi une opportunité pour les entreprises d’automatiser leurs processus, de réduire les erreurs et d’améliorer leur trésorerie.
À terme, toutes les entreprises seront concernées (voir question 3) soit par l’e-invoicing, soit par l’e-reporting des transactions. Mieux vaut anticiper ce virage numérique pour en récolter les bénéfices (productivité, fiabilité…) plutôt que de le subir.
Votre expert-comptable pourra vous accompagner pas à pas pour que cette obligation se transforme en avantage compétitif.
La réglementation s’applique à toutes les entreprises assujetties à la TVA, établies en France, dès lors qu’il y a une transaction B2B domestique (entre assujettis en France).
Autrement dit, si vous vendez des biens ou services à une autre entreprise française (et que l’opération est soumise à TVA), vous devrez émettre des factures électroniques via une plateforme agréée.
Cela inclut les sociétés commerciales de toute taille (micro-entrepreneurs, TPE, PME, ETI, grandes entreprises), les professions libérales, les artisans, les associations exerçant une activité taxable… peu importe le secteur d’activité ou le chiffre d’affaires.
La réforme prévoit un dispositif complémentaire appelé e-reporting. Les ventes à des particuliers (B2C), les transactions avec des clients à l’étranger, ou encore les opérations des entreprises non assujetties à TVA ne donnent pas lieu à une facture électronique obligatoire, mais devront faire l’objet d’un reporting de données à l’administration fiscale.
Par exemple, une PME qui vend en ligne à des particuliers continuera à émettre des factures “classiques” pour ces ventes B2C, mais elle devra régulièrement transmettre un récapitulatif des montants et TVA de ces transactions.
De même, une facture émise vers un client étranger ne transitera pas par le système français, mais ses données devront être reportées via la plateforme.
En résumé, soit par l’e-invoicing (factures B2B nationales obligatoirement électroniques), soit par l’e-reporting (déclaration des autres transactions non couvertes).
Même si vous pensez ne faire que du B2C, vous aurez des obligations de transmission de données.
Personne n’échappera donc à la réforme, d’où l’importance de s’y préparer dès maintenant.
Rapprochez vous de votre expert-comptable pour savoir exactement quelles obligations s’appliquent à votre cas particulier et comment vous y conformer facilement.
Un PDF est lisible pour un humain, mais pas exploitable automatiquement par un logiciel, tandis qu’une facture électronique est structurée pour être comprise par les systèmes informatiques et par les humains.
Concrètement, si vous envoyez aujourd’hui une facture PDF par e-mail, votre client ou son comptable devra l’ouvrir et re-saisir manuellement chaque information dans son logiciel (montant, TVA, références…).
Ce processus manuel est lent, source d’erreurs, et ne garantit pas l’authenticité du document. Un PDF, en soi, n’apporte aucune automatisation.
Par exemple, le format Factur-X combine un visuel PDF et un fichier XML invisible qui contient des champs normalisés (SIREN vendeur et acheteur, date, numéro de facture, lignes de détail, montant HT, taux et montant TVA, montant TTC, etc.).
D’autres formats structurants acceptés par l’administration seront UBL (très répandu en Europe) et CII (plutôt pour grands comptes). Dans tous les cas, votre logiciel de facturation devra pouvoir générer l’un de ces formats normés, car un simple PDF ne suffira plus.
En résumé : on passe d’un fichier non structuré (PDF) à une véritable base de données portable (facture électronique). Grâce à ce format structuré, les données peuvent être intégrées en temps réel dans les logiciels comptables du destinataire, et l’administration peut éventuellement les contrôler automatiquement.
Un PDF envoyé par mail n’en remplit aucun !
C’est pourquoi la réforme impose ce changement technique. Certes, cela oblige à s’équiper d’outils compatibles et à adapter ses habitudes, mais le double enjeu en vaut la peine : automatiser la facturation/comptabilité (plus de ressaisie ni de scan) et renforcer le contrôle fiscal (données tracées et vérifiables).
Au final, c’est un gain de temps pour tout le monde, y compris pour les entreprises elles-mêmes qui bénéficieront de processus plus fiables et plus rapides.
Le calendrier officiel (mis à jour par la Loi de Finances 2024) prévoit deux grandes échéances :
Toutes les entreprises françaises devront être en mesure de recevoir des factures électroniques.
Concrètement, cela signifie que vous devez, à cette date, avoir un moyen de récupérer les factures de vos fournisseurs au format structuré (via une plateforme).
Toutes les entreprises devront émettre leurs factures sous forme électronique en passant par une plateforme agréée. À partir de cette date, plus aucune facture papier ou PDF simple ne sera acceptée pour les transactions B2B domestiques.
L’intégration automatique des factures entrantes doit être effective et un an plus tard vous devez être capable d’émettre via ce même circuit.
Ces deux étapes ont été fixées pour laisser le temps aux entreprises de s’équiper, de former leurs équipes (et leurs experts-comptables) et de tester les solutions.
C’est une montée en charge progressive visant une transition en douceur plutôt qu’un basculement brutal.
Le maître-mot est donc anticipation.
2025 doit être l’année de la préparation pour éviter toute précipitation fin 2026. En cas de non-respect du calendrier, des sanctions sont prévues.
Mieux vaut donc être prêt à l’avance pour éviter stress et pénalités.
Ne pas se conformer à l’obligation de facturation électronique à partir de 2026/2027 exposera l’entreprise à trois types de risques :
La réforme étant inscrite dans la loi, des amendes sont prévues pour les contrevenants.
D’après les dernières informations de la DGFIP, on parle d’une amende de 15 € par facture émise non conforme (avec un plafond de 15 000 € par entreprise et par an).
De plus, chaque omission ou erreur de transmission en e-reporting pourrait entraîner 250 € d’amende par transmission manquante ou erronée.
Ces montants peuvent vite grimper si vous émettez des dizaines de factures par mois. Autant dire que l’entreprise qui ignorerait la réforme pourrait subir un coût non négligeable.
Si vous continuez à envoyer des factures au “mauvais” format (papier/PDF non structuré) après l’échéance, vos clients professionnels risquent de les refuser ou de ne pas les traiter.
Résultat : des retards de paiement importants parce que la facture ne sera pas entrée dans le circuit.
Vous devrez alors tout reprendre, régulariser en urgence au bon format… un temps précieux perdu qui peut nuire à votre trésorerie. De plus, gérer des corrections d’erreurs en urgence ou des flux bloqués accaparera vos équipes administratives.
Ne pas adopter la facture électronique donnerait l’image d’une entreprise non conforme et en retard, ce qui peut entamer la confiance de vos partenaires.
En interne, votre expert-comptable aura du mal à tenir votre comptabilité à jour si vous ne suivez pas les règles (données incohérentes, doubles saisies…).
Enfin, en cas de contrôle fiscal, le non-respect de l’obligation constituerait une infraction formelle qui pourrait aggraver la situation de l’entreprise vis-à-vis de l’administration. C’est un risque juridique et fiscal à ne pas prendre à la légère.
À noter qu’actuellement 1 dirigeant sur 2 n’a pas encore prévu de plan de mise en conformité pour la réforme.
Ils risquent fort de se retrouver en difficulté en 2026 si rien n’est fait. Le pire scénario serait d’être bloqué administrativement (factures rejetées, donc pas de paiement, donc trésorerie en danger) et de devoir payer des amendes en plus.
Heureusement, on peut éviter ces risques en se préparant dès maintenant.
Faites un audit de votre logiciel de facturation et de votre système comptable. Sont-ils capables de gérer les nouveaux formats (Factur-X, UBL, CII) ?
Sinon, anticipez une mise à jour ou un changement de solution.
Rapprochez vous de votre expert-comptable pour sélectionner la bonne PDP (par exemple la PDP MyUnisoft intégrée).
Inscrivez-vous suffisamment tôt et faites les démarches pour connecter votre logiciel à cette plateforme.
Informez vos collaborateurs des changements (comment créer/recevoir les factures demain ?) et éventuellement revoyez votre organisation (par exemple, qui suivra les statuts de facture envoyée/reçue/rejetée ? comment intégrer l’e-reporting dans le workflow de ventes B2C ?).
Un petit plan de transition interne, avec l’aide de votre cabinet comptable, vous évitera bien des soucis au démarrage.
À partir de 2026, vous ne pourrez plus envoyer vos factures directement par email à vos clients B2B – il faudra passer par une plateforme certifiée. Ces plateformes sont appelées PDP (Plateformes de Dématérialisation Partenaires). Mais laquelle choisir concrètement ?
D’abord, comprenons leur rôle : une PDP est un prestataire agréé par l’administration fiscale (immatriculation officielle pour 3 ans renouvelables) qui va émettre, transmettre et recevoir vos factures électroniques en garantissant leur authenticité et intégrité. Elle agit comme un intermédiaire technique entre vous, vos clients/fournisseurs et l’État.
Concrètement, une PDP va :
Si besoin dans le format adapté au destinataire (par exemple convertir un Factur-X en UBL selon ce que supporte le client)
Montant HT, TVA, identifiants du vendeur et de l’acheteur, etc. pour le suivi de la TVA (et également transmettre les données de e-reporting si c’est une opération B2C).
Via sa propre PDP ou le portail public, tout en garantissant la traçabilité du statut (envoyée, reçue, validée, ou rejetée).
Selon les normes, afin que l’authenticité du document soit préservée durant toute sa conservation.
Il existe (ou va exister) de nombreuses PDP sur le marché, proposées par des éditeurs privés (éditeurs de logiciels, opérateurs de facture électronique). Notez que seules les plateformes immatriculées officiellement comme “PDP” pourront effectuer tous les rôles ci-dessus.
Opérateur de Dématérialisation (OD) classique, par exemple votre logiciel actuel non certifié, ne pourra pas à lui seul transmettre vos factures au réseau sans passer par une PDP.
Initialement, l’État prévoyait un portail public gratuit pour centraliser les échanges (similaire à Chorus Pro du secteur public), mais ce projet a évolué. Le PPF servira exclusivement d’annuaire des destinataires et de concentrateur des données fiscales pour l’administration.
Voici quelques critères essentiels à considérer :
Assurez-vous que la PDP peut se connecter facilement à votre logiciel de facturation, à votre caisse ou à votre ERP.
L’idéal est une intégration native pour éviter les exports/imports manuels. Par exemple, si vous utilisez un logiciel de gestion commerciale, vérifiez qu’il est “PDP ready” ou qu’il a un partenariat d’intégration avec une PDP.
Identifiez vos besoins métier.
Avez-vous besoin de suivi de TVA en temps réel, de tableaux de bord, de relances automatiques des factures impayées ?
Certaines PDP offrent des services avancés (suivi des statuts en temps réel, conversion de formats, assistance support…).
Si vous avez un volume important de factures, privilégiez une plateforme offrant un haut niveau d’automatisation et de robustesse.
Une bonne plateforme doit proposer un support client réactif, voire des modules de formation. Pour les TPE, il est souvent recommandé de choisir une solution connectée à votre expert-comptable – ainsi ce dernier pourra vous aider directement sur la plateforme.
Par exemple, des PDP comme celle de MyUnisoft sont pensées main dans la main avec les experts-comptables pour qu’ils puissent suivre vos factures et vous assister facilement.
La réglementation peut évoluer, votre entreprise aussi.
Votre PDP devra s’adapter aux changements (nouvelles mentions, nouvelles normes) et encaisser une hausse de volume si votre activité grandit.
Un acteur reconnu, solide techniquement, vous apportera plus de sérénité qu’une offre trop limitée.
MyUnisoft propose une PDP intégrée à sa solution de gestion.
En choisissant MyUnisoft, vous bénéficiez d’une plateforme tout-en-un où :
Au format Factur-X (ou autre format requis) sans manipulation supplémentaire.
Via une PDP certifiée connectée à MyUnisoft.
Les données de factures se retrouvent directement dans votre comptabilité sans ressaisie.
Une étude interne a montré que les entreprises accompagnées par un expert-comptable équipé d’une solution intégrée comme MyUnisoft se sentent deux fois plus confiantes pour respecter les échéances de 2026/2027.
Elles sont plus réactives pour mettre à jour leurs processus, former leurs équipes et suivre leur trésorerie, car elles disposent d’outils simples et connectés.
Si votre entreprise réalise des ventes à des particuliers (B2C) ou des opérations non soumises à TVA, vous vous demandez sans doute comment appliquer la réforme.
Bonne nouvelle : vous n’aurez pas à émettre de factures électroniques pour ces transactions B2C.
La facturation électronique obligatoire concerne uniquement les échanges entre assujettis (B2B).
En revanche, vous serez soumis à l’e-reporting, c’est-à-dire la transmission périodique de certaines données de vente à l’administration fiscale.
Ticket de caisse, facture papier ou PDF classique, mais vous devrez transmettre régulièrement un relevé de ces transactions via une plateforme.
Ce relevé comprendra probablement les montants totaux par période, le détail de TVA collectée, etc.
L’administration n’exigera pas chaque facture B2C individuellement, mais des agrégats.
C’est-à-dire la transmission électronique des données de transaction à l’administration fiscale.
Cela s’effectue en deux temps, en lien avec le calendrier de la facturation électronique obligatoire :
Concrètement, pour les TPE et PME réalisant des ventes en B2C, l’obligation d’e-reporting entre en vigueur en septembre 2027.
Vous n’émettrez pas de factures électroniques à vos clients particuliers, mais vous devrez, selon une fréquence définie (en fonction du régime de TVA), envoyer un fichier récapitulatif via votre plateforme (PDP ou portail public) indiquant le total des ventes du mois, la TVA correspondante, etc. Cela permettra à l’administration de suivre la collecte de TVA même sans e-factures.
Il faudra bien séparer les flux : facture électronique pour les clients pros, et e-reporting pour les particuliers.
Vérifiez que votre système de caisse ou de facturation peut extraire les données nécessaires (chiffre d’affaires, taux de TVA…) et les transmettre. De nombreuses solutions de caisse seront connectées aux plateformes via des API.
Si vous utilisez une caisse enregistreuse classique, envisagez une mise à jour logicielle ou un connecteur pour être en conformité.
Les factures destinées à des clients à l’étranger ne passeront pas par le système français (pas d’e-invoicing via PDP), mais vous devrez là aussi reporter ces opérations. L’e-reporting couvrira les ventes export, intracommunautaires, etc.
Prévoyez de les tracer dans votre système pour les déclarer facilement.
C’est une question cruciale à se poser dès maintenant. La plupart des entreprises devront faire évoluer leur logiciel de facturation, de gestion ou de caisse pour qu’il respecte les nouvelles exigences.
Deux cas de figure : soit votre outil actuel proposera une mise à jour “spéciale réforme” (beaucoup d’éditeurs travaillent dessus), soit il faudra envisager d’en changer pour un logiciel compatible e-invoicing.
Comment savoir si mon logiciel est prêt ?
Vérifiez auprès de votre éditeur ou intégrateur si le logiciel :
Par exemple, certains logiciels de facturation ajoutent déjà la possibilité d’exporter en Factur-X. Si le vôtre n’a que PDF en sortie, c’est un signal d’alarme.
Soit il embarquera sa propre PDP (devenir lui-même une plateforme certifiée), soit il offrira des connecteurs vers des PDP partenaires.
Demandez quel sera le mode de transmission supporté. Un logiciel non connecté qui vous laisse vous débrouiller manuellement ne sera pas l’idéal.
Certains éditeurs communiquent sur le fait qu’ils seront “immatriculés PDP” ou qu’ils auront une solution intégrée. Informez-vous via leurs notes de version ou FAQ spéciales.
Si votre logiciel est ancien ou peu répandu, ou si vous utilisez des outils bureautiques (Word/Excel) pour facturer, il est presque certain qu’il faudra évoluer.
Beaucoup d’entreprises vont devoir changer de logiciel de facturation ou le mettre à jour, puis former leurs équipes à ce nouvel outil. C’est un investissement, mais nécessaire pour rester conforme et productif. Prenez-le comme une opportunité de moderniser votre gestion.
Vous avez le choix :
Si votre éditeur prévoit une version compatible, planifiez son déploiement en 2025. Assurez-vous que l’update inclut bien l’export en Factur-X/UBL, la connexion à une PDP et éventuellement un module d’e-reporting. Testez en avance si possible (versions pilotes).
Si aucune solution n’existe ou si votre outil actuel ne vous convient plus, envisagez de migrer vers un logiciel de facturation “prêt pour la facture électronique”. De nombreux logiciels cloud récents, comme MyUnisoft Gestion, sont d’ores et déjà conçus pour l’e-invoicing (formats intégrés, PDP incluse, etc.). L’avantage de ces solutions modernes est qu’elles sont souvent full web, mises à jour en continu selon les évolutions légales, et très intuitives. La migration demandera un peu d’effort (reprise des données clients/articles), mais vous gagnerez en efficacité sur le long terme.
En dernier recours, certaines petites entreprises envisagent de déléguer la facturation électronique à un prestataire (par ex, leur expert-comptable ou un opérateur de facturation externalisé). C’est envisageable si le volume est faible et que vous ne souhaitez pas vous équiper. Cependant, à terme il est recommandé de vous doter de votre propre outil pour garder la maîtrise de votre facturation.
Profitez de 2025 pour tester des solutions.
Par exemple, MyUnisoft propose une démonstration gratuite de sa plateforme afin de voir comment créer une facture Factur-X et la transmettre simplement.
Vous pouvez aussi télécharger notre livre blanc qui contient une checklist des fonctionnalités à exiger de votre logiciel. Et bien sûr, impliquez votre expert-comptable dans ce choix : il connaît les logiciels du marché et pourra vous orienter objectivement.
On parle beaucoup des obligations, mais il ne faut pas perdre de vue les nombreux avantages concrets que va apporter la facturation électronique à votre entreprise.
Loin d’être une contrainte pure, c’est aussi une opportunité de simplifier et d’optimiser votre gestion. Voici les principaux bénéfices à attendre :
Fini la double saisie d’une facture dans votre facturier puis dans votre compta.
Avec des factures électroniques structurées, les données sont pré-remplies et intégrées automatiquement dans vos logiciels. Vous évitez les erreurs de frappe, les oublis de TVA ou de mentions obligatoires.
Tout cela rend votre processus plus fiable et fait gagner du temps à vos équipes.
Le délai moyen de paiement en France dépasse encore 10 jours après échéance.
L’e-facturation peut réduire ce délai grâce à l’envoi instantané de la facture au bon format, à des statuts de suivi clairs (votre client voit et valide la facture plus vite) et à des relances automatisées intégrées aux plateformes. Au final, vous encaissez plus vite et vous améliorez votre trésorerie, un enjeu vital pour les petites entreprises.
Avec les bons outils connectés à la facturation électronique (par ex. une solution comme MyUnisoft), vous aurez accès à des tableaux de bord en temps réel de votre facturation.
Vous saurez à tout moment qui vous a payé, quelles factures sont en retard, quel est le montant de TVA collectée, etc., sans devoir compiler des informations manuellement.
Cette vision 360° facilite votre gestion quotidienne : plus besoin d’ouvrir 5 logiciels ou classeurs pour suivre vos factures clients et fournisseurs, tout est centralisé et à jour.
Adopter la facture électronique, c’est envoyer un signal positif à vos partenaires.
Vous montrez que vous êtes à jour technologiquement et réglementairement. Cela renforce votre crédibilité auprès de vos clients B2B (qui apprécieront votre professionnalisme) et même auprès des banques si vous sollicitez un crédit – une gestion moderne et transparente est un gage de sérieux.
En interne, c’est aussi valorisant pour vos équipes d’utiliser des outils à la pointe plutôt que de manipuler du papier.
Les factures électroniques seront archivées de manière sécurisée (souvent sur des serveurs cloud redondés) et les échanges sont tracés et certifiés.
Vous réduisez fortement le risque de perdre une facture ou de ne pas la retrouver au moment du bilan (plus de dossiers égarés !). De plus, grâce aux contrôles d’intégrité, vous êtes sûr que la facture que vous recevez est authentique (pas d’altération possible en chemin).
C’est une tranquillité d’esprit supplémentaire.
On estime qu’une facture papier coûte entre 10 et 20 € à traiter, contre 3 à 5 € pour une facture électronique. Sur l’année, le gain est significatif, même en tenant compte du coût éventuel de la plateforme.
Moins de frais d’envoi, moins de stockage, et surtout moins de temps passé par vos employés sur des tâches manuelles = des économies et une meilleure productivité.
C’est aussi l’occasion de passer à des outils plus modernes qui apporteront d’autres bénéfices (mobilité, intelligence artificielle, etc. à terme).
Certes, il faudra un effort initial de mise en place et de formation, mais le retour sur investissement se fera sentir rapidement.
D’ailleurs, un dirigeant de PME sur deux voit déjà la réforme comme une opportunité d’améliorer sa gestion (selon une enquête récente) – et non comme une contrainte de plus. En adoptant la e-facturation, vous ne faites pas que vous conformer à la loi, vous optimisez votre entreprise.
Parmi les standards qui facilitent l’interopérabilité et la fluidité des
Comprendre le rôle clé des PDP dans la gestion des
Tout ce qu’il faut savoir pour anticiper le passage à
La solution comptable
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